Au cours de ma carrière, je me suis rapproché un peu par hasard d’un secteur pour lequel je me suis découvert un grand intérêt : le monde des parfums.
Pour approfondir mes connaissances, j’ai suivi quelques stages de spécialisation, et notamment Traduire les parfums : les mots de l’invisible.
De plus, de 2012 à 2013, j’ai participé à une série de conférences sur le thème Dégustations olfactives, tenues par Marika Vecchiattini, une célèbre blogueuse italienne. Il s’agissait d’une approche essentiellement historique, enrichie d’une rencontre sur la parfumerie italienne, une autre sur le marketing du parfum et une dernière avec une créatrice renommée.
En 2017, au sein du musée Luzzati de Gênes, j’ai repris cette série de rencontres sur le thème du parfum et de l’olfactif. Cette fois, les
Dégustations olfactives avaient des titres curieux comme « Musc ou mousse ? Animaux, végétaux ou synthétiques ? Que sont-ils, comment s‘utilisent-ils, dans quels parfums se trouvent-ils ? », « Odeurs synthétiques, odeurs naturelles : quelles sont les meilleures ? Sûrs de savoir faire la différence ? », ou encore « Entre Éros et Thanatos : amour et mort dans la parfumerie ».
Parallèlement au secteur des parfums, je travaille également dans le domaine des cosmétiques. Depuis quelques années, je traduis des supports d’information, des brochures, des contenus de sites Internet et des descriptions de produits pour de célèbres Maisons françaises spécialisées dans les secteurs de la mode,
des parfums et des cosmétiques.
« Nous autres, parfumeurs, sommes des auteurs-compositeurs-interprètes ! Nous parlons une langue que beaucoup comprennent mais que peu savent parler : le langage des odeurs. Je traduis ce que je ressens sur une partition de notes parfumées. »
François
Demachy